L’exposition de May Murad porte sur la question du mur et sur sa position de femme gazouie.
Dans le cadre du Festival « Jerusalem Nights », un corpus de textes et poèmes sélectionnés par l’artiste et l’Institut français de Jérusalem – Chateaubriand accompagnera ses œuvres.
La sélection puisera autant dans la littérature arabe que francophone interrogeant le concept de femme.
Ainsi que l’exprime May Murad « Pourquoi écrit-on? Pour qui? » : le mur semble alors le dernier support d’expression artistique. Il est peut-être un soupçon d’espoir dans le désert urbain, un cri anonyme, un message orphelin destiné à l’universel. Jusqu’à ce que le cri silencieux se transforme en murmure.
Exposition disponible jusqu’au 8 avril à l’Institut français de Jérusalem-Chateaubriand.